L’augmentation des dépenses militaires algériennes témoigne de la légitimité du Royaume du Maroc sur son Sahara et d’un échec diplomatique majeur du régime militaire

L’Algérie a récemment alloué d’énormes ressources à l’armement en portant ses dépenses militaires à 25 milliards de dollars pour l’année 2025, soit une augmentation de 3 milliards de dollars par rapport à l’année précédente, puisqu’elle a alloué 5 milliards de dollars aux salaires et dépenses diverses des forces militaires et de la gendarmerie, et 6 milliards de dollars pour le soutien et la logistique, en plus des 13 milliards de dollars pour l’administration publique, ces chiffres reflètent les fortes motivations de l’Algérie à poursuivre la série d’escalades contre tous les pays voisins, le Mali, la Tunisie, la Libye et la Mauritanie, en particulier le Royaume du Maroc. en allumant la mèche du conflit artificiel au Sahara marocain.

Orienter le budget vers le développement d’une Union maghrébine forte, comme le réclamait feu Sa Majesté le Roi Hassan II, que Dieu lui fasse miséricorde, et aussi les mains ouvertes tendues à l’union et aux relations bilatérales par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu lui accorde la victoire, à l’instar de l’Union européenne, et en développant également les régions amazighes oubliées d’Algérie, qui réclament leur droit légitime à… L’indépendance par rapport à l’État militaire, au lieu de se concentrer sur le problème artificiel et l’obsession de le système du Royaume du Maroc qui connaît un développement dans tous les domaines.

Face aux tensions régionales artificielles, les dirigeants du palais Mouradia ont augmenté le budget destiné à renforcer leurs capacités de défense en matière d’armement, sans autre raison que de soutenir le Front séparatiste « Polisario », ce qui soulève des questions sur les origines de cette « obsession des armes ». » qui contrôle le régime militaire ?

En allouant cet énorme budget à l’armement, le régime de « Cabaranat » n’a pas pensé à orienter ces dépenses élevées vers le développement économique et social, et a fait de ces énormes ressources une opportunité d’investir dans des secteurs vitaux comme l’éducation, la santé et les infrastructures, ce qui contribuer à l’amélioration du niveau de vie et à la réalisation du développement durable du peuple algérien opprimé, au lieu de l’orienter vers l’entité imaginaire du « Polisario », ce qui explique l’obsession des armements profondément enracinée dans sa mentalité malade.

Combien de temps, je me demande, le régime militaire algérien négligera-t-il ou ignorera-t-il les questions de développement social dont les Algériens ont besoin, à l’instar de son voisin le Maroc, qui a compris depuis des décennies que le développement économique et social est la base de la stabilité et de la prospérité à travers la construction d’un authentique projet de société démocratique.

Il semble que ces dépenses militaires du régime de « Cabaranat » aient pour toile de fond, d’une part, un sentiment d’inquiétude face aux impressionnants progrès technologiques réalisés par l’armée marocaine ces dernières années, et un sentiment de danger en raison des crise sans précédent avec tous ses voisins de la région, surtout après les nouvelles transformations régionales.

Toutes ces données soulèvent la question : comment cette politique militaire affectera-t-elle la stabilité et le développement en Algérie, dont la population fait toujours la queue pour obtenir un sac de lait, de l’huile ou une bouteille d’essence, tout en se concentrant sur son soutien au Front Polisario. , par ses politiques, il contribue à déstabiliser la stabilité interne, en gaspillant d’énormes sommes d’argent pour soutenir des causes étrangères qui en sont loin et en laissant les gens se débattre dans d’énormes problèmes.

Ce n’est un secret pour personne, l’allocation de budgets importants de cette ampleur au soutien militaire ou à des fronts extérieurs comme le Polisario montre bien à quel point l’Algérie comprend le fait que le Maroc est fort de sa diplomatie royale et du statut de sa vaillante armée.